Le roman "La Havane n'a pas de Dieu pour la protéger" de la romancière Yasmina Khadra, publié aux éditions Dar Nofal, prend une forme interrogative consistant en un récit analytique basé sur la vérité de la vie, dans une partie de la terre, quelle que soit la fiction du roman, l'entité humaine à la recherche des causes de l'existence, et le rôle que joue l'homme à travers le chemin de sa recherche de Dieu dans la foi ou dans l'incrédulité.Dans tous les cas, la romancière Yasmina Khadra présente à travers son roman l'idée de croire en quelque chose et d'être soumis derrière ou contre cette idée, et à travers un espace ouvert dans lequel les lieux variaient, comme il a pu plonger dans un milieu social similaire à de nombreux environnements pauvres dans le monde, et La Havane n'est rien d'autre qu'un symbole pour d'autres Havanes qui peuvent être ici ou là-bas. La croyance de Panchito, avec laquelle il a commencé son roman, n'est rien d'autre que le rêve des pauvres dans la stabilité et la prospérité, et la quête pour capturer les aspects positifs de la vie. "Nous devons lui trouver un sens qui nous aide à atteindre quelque chose de bonheur." Et la joie n'est rien d'autre que cette étape inconnue que les parents plantent dans le cœur de leurs enfants. Soit après que la personne franchit l'étape dans laquelle elle vit heureuse, soit malheureuse, et dans tous les cas, c'est le récit de la rencontre fondatrice de la famille qui affecte psychologiquement les autres détails ou la structure narrative construite avec des éléments et des fondements qui accompagnent avec le récit fondateur pour créer Havanat dans l'imaginaire du lecteur.Et dans une séquence à travers laquelle les idées auxquelles croit Panchito grandissent, résidant dans l'âme de chaque être humain qui cherche son existence loin des slogans ou des «idéologies issues de la mentalité de dépendance, plutôt que celles résultant du lavage de cerveau». Synthétisé, synchronisé et consciemment dessiné par le romancier, il dépeint soigneusement et progressivement la croissance du temps dans les personnages influençant les événements imaginés ou présentés pour une discussion mentale avec le lecteur.Le lecteur peut se demander quel est le produit de La Havane ? Où est le Seigneur qui la protège ? Ou où a-t-il disparu dans un roman où Banchito était présent, et quelle est la philosophie offerte par ce roman, qui est doté de rationalité et d'une structure solide qui vise une sagesse voilée liée au type de narration adopté par Yasmina Khadra, s'éloigner de la conspiration humaine dans la réalité vivante et tangible, et toucher la simplicité de la vie qui naît avec l'homme dans des domaines du troisième type au monde, et parmi les caractéristiques stylistiques qu'il suit dans la narration intéressante ou dans créant scène après scène, et des dictons extraits du cœur de la vie et de la réalité vécue : « Mon père m'a appris à faire une bouchée d'un festin. C'est aussi lui qui m'a prouvé que pour être un vrai homme, il ne faut pas s'écarter de son vrai soi, donc du moins ne tromper personne." Sommes-nous en désaccord car les modes de pensée diffèrent d'une personne à l'autre ?Yasmina Khadra s'est abstenue de diriger le lecteur vers le but, mais s'est plutôt appuyée sur la sagesse de faire le roman pour chaque individu qui ressemble à Panchito. Qu'est-ce qui en a fait l'histoire de chaque individu né dans une société qui en est sortie cosmologie et dans des circonstances compliquées et qui lui a fait se demander où est Dieu ? Cependant, il n'en ressent pas la complexité ni la difficulté, car la famille dont il est issu croyait en l'amour, "l'amour est rare quand il est si fort." Et sur un conseil d'un père inné et spontané, il laisse à son fils le dicton « vis ta vie », qui signifie découvre ta vie et apprends de tes erreurs dans celle-ci, comme on le découvre à chaque page de la simplicité de Banchetto et de la puissance de son extraction mentale de ce qui est philosophique, et de ce qui est une sorte de problème de transformation individuelle d'un état à un autre, et avec l'innovation qui a coïncidé avec lui les événements, sans prétention, vulgarité, accélération ou ralentissement, mais en laissant l'œil de la scène romancière fixé sur Banchetto et ses transformations, et l'autre œil sur le détails, comme le jeu artistique du magicien dans la légèreté de sa main, et c'est une technique fictive pour un personnage qu'il a assumé, à travers laquelle il a traité de nombreuses polémiques auxquelles nous croyons ou n'y croyons pas, comme les cordes avec lesquelles nous sera pendu un jour et dans le respect de la nature de l'homogénéité romanesque, ou plutôt de la nature de l'homogénéité entre les personnages, et de la croyance de chaque individu en ce qu'il vit des événements ou des acquis génétiques sur lesquels il a été élevé, et il a continué le chemin à travers eux. Cela constitue les contraires ou les différences des contraires entre les personnages, et la découverte artistique est les entretoises mentales fixées pour la contemplation ou pour que le lecteur se repose d'un moment à l'autre.Les réflexions rebondissent sur le lecteur du roman "La Havane n'a pas de Dieu pour la protéger" et en activation inverse, car l'esprit se rappelle rapidement les paroles de Panchito, et nous ramène progressivement à chaque fois au père, à la mère et aux gènes hérités. . Cependant, cela commence avec Panchito à l'âge de cinq ans, de sorte que la connaissance du lecteur des connaissances de Panchito et de son expérience de vie qu'il a reçue en deux mots "Vivez votre vie", qui a déterminé comment former le personnage de Panchito dans le roman, et la personnalité de tout individu dans la société pataugeuse qui se traduit par des influences auxquelles nous pouvons croire ou que nous n'y croyons pas, mais elle constitue l'identité de la personnalité sociétale avec laquelle il confronte les différentes idées, ou les idées qu'il cueille à chaque étape de sa vie. "C'est notre référence et notre identité, et c'est aussi notre privilège culturel dans le monde." Synthétiser avec une histoire de vie présentée par Yasmina Khadra sur les pages d'un roman dans lequel l'information narrative est organisée avec l'analyse du personnage, ses développements et l'exhaustivité des connaissances dans son type et sa subjectivité, et même son objectivité ou les intérieurs cachés de ce personnage que la vie elle-même a donné naissance, ou plutôt la société dans laquelle il a grandi indépendamment de La Havane, de Cuba ou d'autres. Parce que c'est un caractère qui se répète en tout temps et en tout lieu, « Si la révolution est capable de faire des idées, elle n'est pas capable de purifier nos gènes de l'héritage que notre humanité a porté pendant des milliers d'années. entre notre humanité et notre humanité ? Est-il possible de découvrir cela avec Panchito dans un roman qui n'est pas "La Havane, que Dieu la protège" qui nous entraîne dans un voyage à suspense sans fin, dans lequel les découvertes de Panchito sur la vie, le joyeux, le douloureux ou l'existentiel surgissent avec un patrimoine en ruine ?
